2WorldNomad
Histoire d'un Road Trip entre Canada et Etats-Unis
jeudi 6 septembre 2012
Des silhouettes étranges...
Quittant la route 66 pour de bon, on poursuit en direction du parc de Joshua Tree. Les paysages que l’on suit restent dans une dominante désertique parsemés çà et là d’arbustes rachitiques et de vieilles bicoques abandonnées.
Alors qu’au loin on aperçoit les premiers signes de civilisation, des arbres hérissés à l’allure torturée font leur apparition. La ville de Joshua Tree s’est développée au milieu des arbres du même nom et chaque maison en possède plusieurs en pas de porte, au moins ils n’ont pas à s’embêter pour la déco du jardin !
Une petite pause chez les ranger s’impose car on se sentirait dépeuplé sans eux ! On tombe sur un amoureux du parc qui nous captive en nous racontant l’histoire du lieu et les possibilités du jour.
mercredi 5 septembre 2012
La route 66
Un peu de poésie dans ce monde de brutes pour débuter cet article sur la route 66, d’après John Steinbeck dans les raisins de la colère :
« La 66 est la route des réfugiés, de ceux qui fuient le sable et les terres réduites, le tonnerre des tracteurs, les propriétés rognées, la lente invasion du désert vers le nord, les tornades qui hurlent à travers le Texas, les inondations qui ne fertilisent pas la terre et détruisent le peu de richesses qu’on y pourrait trouver. C’est tout cela qui fait fuir les gens, et par le canal des routes adjacentes, les chemins tracés par les charrettes et les chemins vicinaux creusés d’ornières les déversent sur la 66. La 66 est la route-mère, la route de la fuite. »
Après la nuit passée à Flagstaff, on reprend l’autoroute direction la ville de Selingman afin de suivre une partie du plus long tronçon ininterrompu de la route 66. Une belle descente nous attend, on ne s’était pas aperçu de l’altitude à laquelle on était, comme bien souvent aux
Etats-Unis…
« La 66 est la route des réfugiés, de ceux qui fuient le sable et les terres réduites, le tonnerre des tracteurs, les propriétés rognées, la lente invasion du désert vers le nord, les tornades qui hurlent à travers le Texas, les inondations qui ne fertilisent pas la terre et détruisent le peu de richesses qu’on y pourrait trouver. C’est tout cela qui fait fuir les gens, et par le canal des routes adjacentes, les chemins tracés par les charrettes et les chemins vicinaux creusés d’ornières les déversent sur la 66. La 66 est la route-mère, la route de la fuite. »
Après la nuit passée à Flagstaff, on reprend l’autoroute direction la ville de Selingman afin de suivre une partie du plus long tronçon ininterrompu de la route 66. Une belle descente nous attend, on ne s’était pas aperçu de l’altitude à laquelle on était, comme bien souvent aux
Etats-Unis…
mardi 4 septembre 2012
Grand canyon
Par ce petit matin grisounet, nous voilà reparti tôt en direction de l’entrée Est de Grand Canyon. Evidemment un canyon possède deux versants, on arrive sur la South Rim (rive sud) plus accessible et donc plus fréquentée…
Tout juste entré, on se dirige vers désert view, pour notre premier aperçu du canyon. Au risque de vous surprendre, cette première vision du canyon nous déçoit quelque peu…
En effet, on vient de croiser tellement de canyon sur notre route que c’est un peu : « ah, un canyon de plus », et oui on devient difficile (sic) ! A notre décharge, la chape de gris et de brume qui va et vient au-dessus de nos têtes, jusqu’en début d’après-midi ne rend pas justice au panorama.
lundi 3 septembre 2012
Des méandres de la Colorado river à l'Anteloppe Canyon
A la lumière du jour, beaucoup plus facile de localiser le Rv park, on ne l’aura manqué que d’une centaine de mètres…
Une fois pris l’emplacement, on se dirige vers le centre-ville de Page afin de réserver un tour guidé dans le fameux Anteloppe Canyon tout proche. Situé lui au Sud de la ville et dans la réserve Navajo, il est interdit de le visiter sans guide. On se déleste donc de 70 dollars pour participer à la visite prévue pour le lendemain, en début d’après-midi. Même aux premiers jours de Septembre les places sont chères et on n’aura pas eu le choix sur l’horaire, vous comprendrez plus tard en quoi c’est important.
On se dirige par la suite vers Horseshoe bend, autre endroit fameux juste à la périphérie de la ville. Après une micro marche de 20 minutes, les pieds dans le sable, on retrouve la rivière Colorado. Elle ne nous déçoit pas, un spectacle majestueux nous attend.
On se dirige par la suite vers Horseshoe bend, autre endroit fameux juste à la périphérie de la ville. Après une micro marche de 20 minutes, les pieds dans le sable, on retrouve la rivière Colorado. Elle ne nous déçoit pas, un spectacle majestueux nous attend.
samedi 1 septembre 2012
Une journée bien remplie part 2: Monument Valley
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